Ainsi, les ponts, les routes et les chemins de fer construits par les entreprises chinoises ne cessent de se multiplier, dénaturant les vastes étendues préservées du plateau tibétain. Mais le plus gros enjeu concerne une ressource des plus précieuses : l’eau. Afin d’approvisionner les métropoles chinoises, les barrages, centrales et autres ouvrages hydrauliques se développent de manière exponentielle sur les fleuves du Tibet.