Après coup, c’est à dire après la présidentielle, on a pu imaginer que la plupart des familles avaient voté dans l’harmonie, sans états d’âme. Pour faire court, celles de Neuilly pour Sarko, celles de Clichy pour Royal… Que non : les discussions ont déchiré les foyers, les noms d’oiseaux ont volé, les générations se sont heurtées.